Le classement des pourcentages d'arrêts en Ligue 1 2025/26 réserve quelques surprises. Entre révélations, confirmations et déceptions, les gardiens de Ligue 1 dessinent une hiérarchie inattendue.
Robin Risser impose sa loi. Le jeune portier du RC Lens affiche un pourcentage d'arrêts de 80%, selon MeteoFoot. Une performance exceptionnelle pour ce gardien de 20 ans qui est la pari gagnant signé du directeur sportif lensois, Jean-Louis Leca.
Transféré au RC Lens pour trois millions d'euros en juillet 2025, Risser cumule 12 matchs en Ligue 1 cette saison. Son ratio impressionnant le propulse au sommet du championnat français.
Le Colmarien réalise en moyenne trois arrêts décisifs par rencontre. Sa détente, sa lecture du jeu et sa maturité surprennent les observateurs. L'international Espoirs français, avec trois sélections à son actif, s'impose comme l'un des meilleurs investissements de l'été.
Geronimo Rulli occupe la deuxième position avec 78,9% d'arrêts. L'Argentin de l'Olympique de Marseille confirme qu'il est l'un des meilleurs gardiens de Ligue 1. Arrivé à l'été 2024, le portier de 33 ans maintient son équipe parmi les meilleures défenses du championnat.
Lucas Chevalier est quant à lui une grosse déception avec une 13e place et seulement 63,3% d'arrêts. Un classement décevant pour le gardien qui a quitté le LOSC pour rejoindre le PSG cet été. Ses performances en demi-teinte contrastent avec sa réputation de meilleur gardien de Ligue 1 la saison passée. Berke Özer, son successeur lillois, occupe la 14e position avec 62,5%. Le Turc de 25 ans peine à combler le vide laissé par Chevalier.
La surprise est Dominik Greif. Alors qu'il laisse globalement une bonne impression, le gardien de l'Olympique Lyonnais affiche le pire pourcentage du championnat : 50,0%. Une statistique alarmante qui place le Slovaque de l'OL à la 18e position.
Arrivé de Majorque pour quatre millions d'euros en août 2025, Greif a sombré sur quelques prestations. Son match cauchemar face au Paris FC illustre ses difficultés : zéro arrêt pour trois buts encaissés alors que l'OL menait 3-0.
"0 arrêt ce soir ? Ouais, je n'ai rien à dire, je n'ai pas touché un ballon, j'ai pris trois buts", reconnaissait-il dépité après la rencontre. Le portier de 28 ans, auteur de seulement 15 arrêts en 12 matchs, vit une adaptation compliquée à la Ligue 1. C'est du moins que laissent entendre cette statistique.
Toujours est-il que ce classement bouleverse les certitudes. Risser, inconnu du grand public il y a six mois, domine désormais les ténors établis. Greif, censé apporter son expérience de la Liga, s'effondre statistiquement.
Néanmoins, il est nécessaire de nuancer ces chiffres. En effet, ces statistiques reposent sur le nombre de tirs arrêtés sur le nombre de tirs cadrés. Or, il y a des tirs cadrés plus ou moins faciles à arrêter, en l'occurrence sans difficulté pour le gardien. Quand une équipe est peu mise en danger grâce à une défense solide, et que le peu de tirs cadrés sont imparables, forcément le ratio est mauvais. A contrario, beaucoup de frappes sur le gardien ou sans convictions font remonter le ratio. De ce fait, cet indicateur ne peut être le seul retenu pour qualifier la saison d'un gardien.
Robin Risser impose sa loi. Le jeune portier du RC Lens affiche un pourcentage d'arrêts de 80%, selon MeteoFoot. Une performance exceptionnelle pour ce gardien de 20 ans qui est la pari gagnant signé du directeur sportif lensois, Jean-Louis Leca.
Transféré au RC Lens pour trois millions d'euros en juillet 2025, Risser cumule 12 matchs en Ligue 1 cette saison. Son ratio impressionnant le propulse au sommet du championnat français.
Le Colmarien réalise en moyenne trois arrêts décisifs par rencontre. Sa détente, sa lecture du jeu et sa maturité surprennent les observateurs. L'international Espoirs français, avec trois sélections à son actif, s'impose comme l'un des meilleurs investissements de l'été.
Geronimo Rulli occupe la deuxième position avec 78,9% d'arrêts. L'Argentin de l'Olympique de Marseille confirme qu'il est l'un des meilleurs gardiens de Ligue 1. Arrivé à l'été 2024, le portier de 33 ans maintient son équipe parmi les meilleures défenses du championnat.
Lucas Chevalier est quant à lui une grosse déception avec une 13e place et seulement 63,3% d'arrêts. Un classement décevant pour le gardien qui a quitté le LOSC pour rejoindre le PSG cet été. Ses performances en demi-teinte contrastent avec sa réputation de meilleur gardien de Ligue 1 la saison passée. Berke Özer, son successeur lillois, occupe la 14e position avec 62,5%. Le Turc de 25 ans peine à combler le vide laissé par Chevalier.
La surprise est Dominik Greif. Alors qu'il laisse globalement une bonne impression, le gardien de l'Olympique Lyonnais affiche le pire pourcentage du championnat : 50,0%. Une statistique alarmante qui place le Slovaque de l'OL à la 18e position.
Arrivé de Majorque pour quatre millions d'euros en août 2025, Greif a sombré sur quelques prestations. Son match cauchemar face au Paris FC illustre ses difficultés : zéro arrêt pour trois buts encaissés alors que l'OL menait 3-0.
"0 arrêt ce soir ? Ouais, je n'ai rien à dire, je n'ai pas touché un ballon, j'ai pris trois buts", reconnaissait-il dépité après la rencontre. Le portier de 28 ans, auteur de seulement 15 arrêts en 12 matchs, vit une adaptation compliquée à la Ligue 1. C'est du moins que laissent entendre cette statistique.
Toujours est-il que ce classement bouleverse les certitudes. Risser, inconnu du grand public il y a six mois, domine désormais les ténors établis. Greif, censé apporter son expérience de la Liga, s'effondre statistiquement.
Néanmoins, il est nécessaire de nuancer ces chiffres. En effet, ces statistiques reposent sur le nombre de tirs arrêtés sur le nombre de tirs cadrés. Or, il y a des tirs cadrés plus ou moins faciles à arrêter, en l'occurrence sans difficulté pour le gardien. Quand une équipe est peu mise en danger grâce à une défense solide, et que le peu de tirs cadrés sont imparables, forcément le ratio est mauvais. A contrario, beaucoup de frappes sur le gardien ou sans convictions font remonter le ratio. De ce fait, cet indicateur ne peut être le seul retenu pour qualifier la saison d'un gardien.






